
Simon Manoha
Sauvage
13 février
→
29 mars 2025
16 rue de l'Arcade,
Paris
(France)
À propos de l'événement
Intitulée Sauvage, l'exposition personnelle consacrée à l'artiste Simon Manoha se tiendra du 13 février au 17 mars 2025. Balançant entre l’évocation de la figure humaine et une abstraction expressive, les œuvres de Simon Manoha convoquent les éléments pour installer une présence.
Son œuvre singulière, parfois à contre-courant et très remarquée ces dernières années, lui a valu d'être présenté dans de nombreuses expositions muséales telles que Contre Nature au MOCO, Montpellier, 2022 - Toucher Terre à La Villa Datris, Isle-sur-la-Sorgue, 2022 - Stadt Museum, Hüfingen, Allemagne, 2023 - Cuire au bois à la Maison de la Céramique de Dieulefit, 2024 et Biennale of Contemporary Ceramics, Santorin, Grèce, 2024.
Ce travail sculptural d'une grande qualité démontre l'immense richesse et le potentiel plastique de la céramique, lorsque celle-ci est parfaitement maîtrisée. Son appropriation par l'artiste se dirige vers une esthétique minérale, rocheuse, parfois ironiquement ponctuée d'émaux provocateurs. Certaines œuvres sont entièrement constituées d'éléments que l'artiste prélève et transforme lui-même depuis la nature.
Simon Manoha nous inviterait-il à réfléchir sur la permanence et l'éphémère, la solidité et la fragilité ? Il interroge vraisemblablement la relation entre l’homme, la nature et l'artifice.
Venez donc découvrir ses dernières œuvres à la galerie !
Son œuvre singulière, parfois à contre-courant et très remarquée ces dernières années, lui a valu d'être présenté dans de nombreuses expositions muséales telles que Contre Nature au MOCO, Montpellier, 2022 - Toucher Terre à La Villa Datris, Isle-sur-la-Sorgue, 2022 - Stadt Museum, Hüfingen, Allemagne, 2023 - Cuire au bois à la Maison de la Céramique de Dieulefit, 2024 et Biennale of Contemporary Ceramics, Santorin, Grèce, 2024.
Ce travail sculptural d'une grande qualité démontre l'immense richesse et le potentiel plastique de la céramique, lorsque celle-ci est parfaitement maîtrisée. Son appropriation par l'artiste se dirige vers une esthétique minérale, rocheuse, parfois ironiquement ponctuée d'émaux provocateurs. Certaines œuvres sont entièrement constituées d'éléments que l'artiste prélève et transforme lui-même depuis la nature.
Simon Manoha nous inviterait-il à réfléchir sur la permanence et l'éphémère, la solidité et la fragilité ? Il interroge vraisemblablement la relation entre l’homme, la nature et l'artifice.
Venez donc découvrir ses dernières œuvres à la galerie !
Né en 1987 en Ardèche, Simon Manoha développe une céramique enracinée dans la terre, la musique et la philosophie. Ses pièces, façonnées selon la technique japonaise du kurinuki, semblent surgir du sol lui-même, comme des formes que le feu aurait révélées.
Après des études de musique improvisée puis de philosophie contemporaine à la Sorbonne, il revient à la matière première : l’argile. Héritier d’un oncle potier, il marche, creuse, collecte des terres, des minéraux et des cendres dans les forêts ardéchoises. Ces éléments deviennent les pigments et les émaux de son propre langage.
Il construit de ses mains un four anagama, qu’il alimente de bois locaux, châtaignier, pin, frêne, acacia, pour des cuissons de quarante-huit heures. Chaque pièce, évidée d’un bloc brut, garde la trace de l’effort, du feu et du hasard.
Son œuvre se situe entre poterie et sculpture, entre geste ancestral et méditation contemporaine. Chez Simon Manoha, la cuisson n’est pas seulement un acte technique : c’est une expérience existentielle, une façon d’écouter la terre respirer.
Après des études de musique improvisée puis de philosophie contemporaine à la Sorbonne, il revient à la matière première : l’argile. Héritier d’un oncle potier, il marche, creuse, collecte des terres, des minéraux et des cendres dans les forêts ardéchoises. Ces éléments deviennent les pigments et les émaux de son propre langage.
Il construit de ses mains un four anagama, qu’il alimente de bois locaux, châtaignier, pin, frêne, acacia, pour des cuissons de quarante-huit heures. Chaque pièce, évidée d’un bloc brut, garde la trace de l’effort, du feu et du hasard.
Son œuvre se situe entre poterie et sculpture, entre geste ancestral et méditation contemporaine. Chez Simon Manoha, la cuisson n’est pas seulement un acte technique : c’est une expérience existentielle, une façon d’écouter la terre respirer.
Presse
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Jasmine Spezie – Adèle Godet
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