Simon Manoha
31. Internationalen Keramikwochen
9 September
→
24 September 2023
Stadmuseum Hüfingen,
Hüfingen
(Allemagne)
About the event
Pour la 31e fois, le mois de septembre à Hüfingen est consacré à l'art de la céramique.
Cette année, le musée d'art et d'histoire de la ville présente des œuvres d'art contemporain en céramique de premier ordre d'Annett Ulrike Meier et de Simon Manoha.
"L'artiste vide sa conscience pour ouvrir la voie à la création pure.
Kopfschmerzen (mal de tête) est un hommage à la philosophie d'Emmanuel Lévinas, en particulier à ses concepts d'hospitalité et d'altérité. J'ai créé une série d'œuvres intimes avec la nature, en utilisant ses matériaux, ses formes et ses significations. Cette relation entre l'homme et la nature a donné naissance à des formes qui ressemblent à la tête humaine et aux montagnes." Simon Manoha.
"L'artiste vide sa conscience pour ouvrir la voie à la création pure.
Kopfschmerzen (mal de tête) est un hommage à la philosophie d'Emmanuel Lévinas, en particulier à ses concepts d'hospitalité et d'altérité. J'ai créé une série d'œuvres intimes avec la nature, en utilisant ses matériaux, ses formes et ses significations. Cette relation entre l'homme et la nature a donné naissance à des formes qui ressemblent à la tête humaine et aux montagnes." Simon Manoha.
Né en 1987 en Ardèche, Simon Manoha développe une céramique enracinée dans la terre, la musique et la philosophie. Ses pièces, façonnées selon la technique japonaise du kurinuki, semblent surgir du sol lui-même, comme des formes que le feu aurait révélées.
Après des études de musique improvisée puis de philosophie contemporaine à la Sorbonne, il revient à la matière première : l’argile. Héritier d’un oncle potier, il marche, creuse, collecte des terres, des minéraux et des cendres dans les forêts ardéchoises. Ces éléments deviennent les pigments et les émaux de son propre langage.
Il construit de ses mains un four anagama, qu’il alimente de bois locaux, châtaignier, pin, frêne, acacia, pour des cuissons de quarante-huit heures. Chaque pièce, évidée d’un bloc brut, garde la trace de l’effort, du feu et du hasard.
Son œuvre se situe entre poterie et sculpture, entre geste ancestral et méditation contemporaine. Chez Simon Manoha, la cuisson n’est pas seulement un acte technique : c’est une expérience existentielle, une façon d’écouter la terre respirer.
Après des études de musique improvisée puis de philosophie contemporaine à la Sorbonne, il revient à la matière première : l’argile. Héritier d’un oncle potier, il marche, creuse, collecte des terres, des minéraux et des cendres dans les forêts ardéchoises. Ces éléments deviennent les pigments et les émaux de son propre langage.
Il construit de ses mains un four anagama, qu’il alimente de bois locaux, châtaignier, pin, frêne, acacia, pour des cuissons de quarante-huit heures. Chaque pièce, évidée d’un bloc brut, garde la trace de l’effort, du feu et du hasard.
Son œuvre se situe entre poterie et sculpture, entre geste ancestral et méditation contemporaine. Chez Simon Manoha, la cuisson n’est pas seulement un acte technique : c’est une expérience existentielle, une façon d’écouter la terre respirer.
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Jasmine Spezie - Adèle Godet
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